Cependant qu’au loin les vestiges s’effacent.
Que la multitude obtuse
Médusée et transie,
Vît toujours l’Hydre Nazie,
La face de la Méduse
Qu’il soit toujours minuit à l’horloge du Nez
Que l’Heure la plus Sombre ne cesse de sonner
Du french Cancan
Mémoriel, quand
Sonne l’heure,
Sonne l’heure,
Il nous souvient
Des jours anciens
Du Führer.
Des jours anciens
Du Führer.
Comment continuer à les couvrir de cendres
Cependant qu’à la fosse les nazis vont descendre ?
Que sont nos nazis devenus
Que nous avions si près tenus
À bras le corps
Ils sont déjà trop clairsemés
Je crois le vent les va ôter
Du vieux décor.
Je crois le vent les va ôter
Du vieux décor.